
Une rentrée mouvementée pour Jean Imbert et certainement pas celle à laquelle il s’attendait. Depuis plusieurs mois, le célèbre chef cuisinier est accusé de violences conjugales par plusieurs de ses ex-compagnes. En avril dernier, une enquête était sortie dans les colonnes du magazines ELLE. Et l’affaire a pris une autre tournure lorsque mardi 19 août, l’ancienne Miss France, Alexandra Rosenfeld, a pris la parole publiquement pour raconter ce qu’elle avait vécu.
Puis, ce lundi 25 août, c’est la comédienne Lila Salet qui a confirmé avoir porté plainte contre le chef du Plaza Athénée le samedi précédent, pour violences sur conjoint et séquestration entre septembre 2012 et mars 2013. Une enquête est donc ouverte. Ce mercredi 27 août, elle a témoigné dans RTL Matin au micro de Marc-Olivier Fogiel. « Il met sur le lit, me met des grandes baffes et m’interdit de sortir de la chambre pendant plusieurs heures, j’ai vraiment eu peur pour ma vie à ce moment-là » dit-elle. Des faits qui démarrent à la suite d’un SMS reçu par la jeune femme, d’un garçon qui l’appelle « ma chérie« .
"Il me met sur le lit, me met des grandes baffes et m'interdit de sortir de cette chambre pendant plusieurs heures, j'ai vraiment eu peur pour ma vie à ce moment-là"
— RTL France (@RTLFrance) August 27, 2025
Lila Salet, ex-compagne du chef Jean Imbert, invitée de @FogielMarcO dans #RTLMatin pic.twitter.com/xQtKu6AI3m
Jean Imbert : « pas de doute sur l’issue de l’enquête »
Dans la soirée du mercredi 27 août, c’est Jean Imbert qui a paris la parole pour la première fois sur ses réseaux sociaux. Celui qui a été révélé par l’émission Top Chef a annoncé se mettre en retrait.
Tout d’abord, Jean Imbert se dit soulagé. En story, sur son compte Instagram, il déclare : « La justice est saisie, c’est un soulagement et je n’ai pas de doute sur l’issue de l’enquête. » Il explique qu’il ne s’expliquera pas plus publiquement car difficile de le faire « dignement, dans le bruit médiatique. »
Enfin, Jean Imbert tient à remercier les équipes avec qui il travaille depuis de nombreuses années. « Je travaille avec plus de 1000 personnes. Des femmes, des hommes incroyables (…) des collaborateurs qui passent leurs vies à mes côtés, qui me soutiennent malgré la tempête et qui continuent de croire en moi. Je leurs doit tout. » Jean Imbert poursuit en indiquant que « pour eux, par respect », il a pris « la décision de [s]e mettre en retrait de ses établissements, le temps que la justice fasse son travail.«
